Extraits de presse
Le fantastique est-il italien ? Assurément, si l’on s’en réfère à Dino Buzzatti comme à cet éblouissant Salvatore Gucciardo.
Jacques Collard
Pourquoi Pas ?
Avril 1976
Salvatore Gucciardo, un des grands mystiques de notre temps.
P.H.
Le Peuple
Mars 1979
Gucciardo est un visionnaire, un vrai.
Geneviève
La Nouvelle Gazette
Décembre 1979
Ce sont des paysages intérieurs qui ne sont de nulle part : paysages crépusculaires, extra-terrestres, hallucinants.
Le Rappel
Décembre 1979
Sa démarche apporte sans conteste sa contribution à l’art fantastique avec une large partie de ces œuvres une dimension recherchée d’allure métaphysique d’un impact certain.
La Nouvelle Gazette
Janvier 1982
Le temps est déjà aboli, il gravite entre la mémoire et le devenir, entre les racines et l’inconscient et l’infini cosmique, tout se confond paraboles et symboles, vie et prophétie.
L’union (France)
Décembre 1984
Sa vision du monde est novatrice et Gucciardo se révèle être un observateur autant qu’un prophète.
J.M. Pirotte
Ateliers d’Art Actualités
Mai 1985
Le message que ce Sicilien venu s’établir très tôt en plein cœur du Pays Noir est important en ce sens qu’il nous force à nous interroger à la fois sur le passé, le présent et, surtout l’avenir.
Michel Duprez
Journal et Indépendance
Juin 1985
Salvatore Gucciardo, utilise les couleurs les plus vives de sa palette, pour traduire des paysages cosmiques où s’opposent le froid de l’espace, et le chaud de la terre.
Paris-Mantes (France)
Mars 1985
Est-ce le cosmos qui l’habite ? Habite-t-il le cosmos ?
Geneviève Rousseaux
Le Nord Eclair
Juillet 1986
Sa ferveur humaine et son enthousiasme prophétique permettent de le ranger parmi les poètes les plus étranges des mondes imaginaires.
Stephane Rey
L’Echo de la Bourse
30 octobre 1987
(...) explorateur-créateur de galaxies et d’êtres venus du futur ou issus de mutations kafkaesques du présent. Mers et volcans s’unissent pour donner naissance à d’inquiétants insectes dominateurs ou à des humains retournés au stade d’évolution de l’ère première de notre planète.
Wim Toebosh
Art Antiques Auctions
Novembre 1987
Explorateur des planètes lointaines, il aime y planter des paysages à l’italienne pour abriter les amours d’un peuple étrange et chaleureux. Une longue quête intérieure et une grande volonté de paix dominent cette symphonie inspirée de la musique des sphères.
Anita Nardon
Arts Magazine
Octobre 1987
Salvatore Gucciardo est un autodidacte, venu à la peinture par le biais de la poésie et de l’étude des grands peintres…
Nelly Brousmiche
Le Rappel
21 mars 1991
Salvatore Gucciardo, qui peint depuis plus de 25 ans, fait partie des principaux artistes visionnaires actuels en Belgique. Sa peinture est l’expression d’une vie intérieure se considérant comme un peintre mystico-cosmique, il réalise des œuvres fantastiques dont il prend toutefois son inspiration dans le réel.
L’union (France)
10 novembre 1993
Sa peinture est empreinte de mystique et de fantastique. Au travers de ses œuvres, Salvatore Gucciardo privilégie l’Homme dans son « Humanité Absolue ».
M.Conserva
La Nouvelle Gazette
30 novembre 1993
Sa peinture est un langage, une écriture, un message à l’humanité jalonné par les périodes « Solaires », « Lunaires » et « Robotique », son parcours pictural poursuit obsessionnellement le même objectif : « L’artiste est un scientifique de l’âme. » Il doit montrer à l’homme le chemin qui conduit à la divinité. L’art participe à la conquête de l’avenir, à l’élévation de l’être humain.
M.Cs
La Nouvelle Gazette
4 septembre 1995
(…) ce Sicilien de Charleroi vit dans un monde autre, divers et différent, avec des végétations post-atomique et des mutants aux yeux limpides. Son « Jugement Dernier », dominé par le big-bang final, met l’homme en accusation de ses expériences létales mais dans la foule en attente, des couples enlacés prouvent que l’amour jamais ne meurt.
Anita Nardon
Ideart, Paris
Juin-septembre 1996
Phénomène en son genre, il s’est lancé à corps et à cœur perdus dans l’exploration de son univers imaginaire.
Stephane Rey
L’Echo de la Bourse
21 juin 1996
Prophète de la fin du siècle, on peut espérer que s’il est porteur de l’épée de feu qui chasse le dragon lance-flammes, il sera aussi le porteur de lumière des temps nouveaux.
Stephane Rey
L’Echo de la Bourse
4 juillet 1997
De ses peintures se dégagent un certain mystère, quelque chose de surnaturel, une inspiration surréaliste. Des planètes lointaines côtoient des ciels méditerranéens imprégnés de douceur, de tranquillité. La force d’un côté, le calme de l’autre. Au milieu, l’homme, de sa naissance au jugement dernier, ballotté entre ces mondes différents.
JLD
La Province Mons-borinage
18 juin 1998
Salvatore Gucciardo s’aventure d’un pinceau décidé dans l’inexpliqué et l’inexplicable. Ce visionnaire évoque un « espace habité » qui pourrait être une vision des premiers temps de l’humanité.
Alain Trémiseau
Nord-Eclair
4 juillet 1998
Depuis ses débuts, Salvatore Gucciardo est attiré par le mystère, l’insolite et le surréel. L’artiste célèbre l’être humain dans son combat incessant à vouloir vivre dans un monde inquiétant où il est réduit à une présence infinitésimale.
Son œuvre se veut l’expression de l’espérance et de l’optimisme face à l’obsession humaine de l’autodestruction.
La terre n’est pas à l’abri de l’erreur humaine qui la condamnerait à sa disparition. Il y a chez cet artiste une passion et un imaginaire qui n’a pas fini de nous étonner.
J.C.
La Province Mons-borinage
7 juillet 1998
Mystique, symboliste, ésotérique, surabondant, non-conformiste, Gucciardo a conquis une notoriété amicale parmi les mordus de l’inexplicable. L’accueil très encourageant reçu un peu partout, les témoignages de la critique et de la presse sur l’originalité et l’élan de ce peintre, poète à ses heures, prouvent qu’il ne ralentit pas son effort, et que ses messages retiennent de plus en plus l’attention.
Stéphane Rey
L’Echo
12 juin 1998
Ses peintures recèlent les perles de sève et le chapelet des graines de l’origine du monde. Face à une toile de Salvatore Gucciardo, toutes les questions essentielles et existentielles sur le passé et le devenir de l’homme s’imposent à nous. Sortes d’alchimiste transformant ses toiles en Athanor, il nous donne une possibilité de peut-être trouver sinon approcher à la réponse de toutes nos interrogations d’ordres originelles et humaines.
Michel Bénard
L’Etrave
Revue des Arts et des Lettres
Spécial printemps 2000
Des planètes étranges côtoient des ciels méditerranéens imprégnés de douceur.
Femmes d’aujourd’hui
Janvier 2001
Excellent dessinateur comme l’étaient les maniéristes italiens de la Renaissance, Salvatore Gucciardo réussit aussi bien les petits que les grands formats devant lesquels on reste longtemps, médusé, à se poser des questions.
Colette Bertot
L’Echo
20 décembre 2002
Arpenteur infatigable des chemins de l’inconnu, des labyrinthes du fantastique et des plages du rêve, il exprime sa quête d’absolu et de vérités premières aussi bien par la fulgurance du Verbe poétique que par la beauté foisonnante de ses toiles ivres d’une lumière quasi métaphysique.
Giulia Bogliolo Bruna
Nuovi Orizzonti Europa 2003
Les toiles de Gucciardo expriment une recherche de l’homme qui, par son expression artistique, essaie d’apporter une réponse au chaos du monde.
P.R.
Vers l’Avenir – Le Rappel
2 juin 2004
Salvatore Gucciardo, entre fantastique et surréalisme, communique avec passion sa quête picturale et spirituelle.
Fidèle au mysticisme qui caractérise son travail esthétique, Gucciardo revendique une vision poétique de l’atome primitif.
« Je suis toujours préoccupé par le monde et l’être humain mais il n’y a rien de chaotique dans ma pensée ».
Catherine Bastin
La Nouvelle Gazette
2 juin 2004
Les toiles de Gucciardo expriment une recherche de l’homme qui, par son expression artistique, essaie d’apporter une réponse au chaos du monde.
P.R.
Vers l’Avenir, le Rappel
Juin 2004
Salvatore Gucciardo exprime dans son imaginaire l’essence humaine et ses racines en rapport avec la force cosmique et les énergies vitales de l’univers. Au centre, il place l’homme dans une aire presque apocalyptique et fascinante à la fois.
Bernadette Maroit
Vers l’Avenir, le Rappel
6 octobre 2006
Poète des couleurs, le peintre Salvatore Gucciardo place l’homme et l’univers au centre de ses créations.
La Libre Belgique
10 mai 2006
Artistes instinctif, Salvatore Gucciardo transcrit son univers au travers des œuvres parsemées de couleurs flamboyantes, sublimatoires de la lumière. Véritable poète des couleurs, l’artiste nous entraîne dans un monde onirique, fantastique où la réflexion côtoie l’émerveillement.
Jean-Paul Gavard-Perret
Plume Art
Mai 2006
A quoi correspondent les encres porteuses de symboles du très réputés Salvatore Gucciardo dont les œuvres se trouvent dans plusieurs musées.
Luc Norin
La Libre Belgique
2 mars 2007
L’homme se survivra-t-il ? Interrogent les œuvres de Salvatore Gucciardo. Entre apocalypse et fascination spirituelle, le peintre visionnaire et onirique replace l’humain dans sa dimension cosmique : petit face à l’immensément grand mais seul maître après Dieu sur la sphère Terre.
Toute l’œuvre de Salvatore Gucciardo tend vers cette quête de l’absolu : une communion entre l’esprit, l’âme et l’univers.
Portraits d’Artistes
Editions d’Art REGARDS
France 2007
Passionné également par la littérature et la poésie, Salvatore Gucciardo a écrit de nombreux poèmes grâce à sa facilité à écrire et à sa grande créativité. Ayant une vision personnelle de l’homme et du monde, il s’est exprimé par écrit.
Stéphane Florio
La Nouvelle Gazette
24 avril 2008
Salvatore Gucciardo. Peintre, aquarelliste, dessinateur, illustrateur et poète, l’artiste navigue entre fantastique et surréalisme.
La Libre Culture
28 mai 2008
Peintre proche du mouvement Fantasmagie, dont il fut un des derniers adhérents, Salvatore Gucciardo vit dans un monde autre composé de lunes inconnues, bâti de ville à mesure de l’homme avec des couples pacifique et des chemins menant aux étoiles. Dans une peinture colorée, raffinée dans sa recherche d’ombres et de lumières, il invite à se promener au bord d’océans inconnus ou à naviguer sur d’improbables barques chargées de moissons et de fleurs.
Anita Nardon
Prestige, beauté et élégance N° 146
Juin 2008
Pour Salvatore Gucciardo au commencement était le verbe. Au commencement fut donc le mensonge où nous fûmes immergés comme nous fumes noyés par les mères, et pliés par les pères. Mais avant ce premier jour dans l’argile du ventre et l’écume de la loi il y eu la soupe cosmique.
Jean-Paul Gavard-Perret
France 2008
La peinture est l’expression naturelle de la réflexion de Salvatore Gucciardo sur l’homme et l’univers. Son art visionnaire, empreint de poésie et de fantastique, nous livre le regard de l’artiste sur le mystère de la création et de la vitale intimité qui unit le cosmos et le genre humain dans une quête mystique poussée toujours plus avant.
Développant une symbolique toute personnelle, Salvatore Gucciardo s’inscrit dans la tradition des artistes surréalistes ouvrant sur des mondes nouveaux encore inaccessibles mais déjà rêvés.
Art, des mots des œuvres
Editions d’Art REGARDS
France 2008
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